Critiques

RÉCITAL – IN·SANITY
FESTIVAL VOLCADIVA- 2024

« Passant avec aisance d’un répertoire et d’une époque à une autre, le contre-ténor fait valoir une heure durant toute la vaillance et la brillance de son atypique instrument, particulièrement sonore et dont la ligne s’étire sur le fil d’un souffle de belle longueur. Une voix qui, si elle s’épanouit sur le terrain plutôt virtuose des Haendel et Schumann, sait aussi naviguer en des eaux bien plus obscures et évanescentes en abordant le répertoire plus récent. C’est le cas dans ce monastique Psaume de Maurice Schoemaker, où le jeune artiste trouve l’occasion de passer du grave à l’aigu de tête avec des façons de leste acrobate sûr de son fait, alternant nuances mezza voce et suraigus d’une sonorité pleine de relief.

Mais s’il y a du son, il y a aussi des mots et, hors de rares moments où l’imposante patine sonore efface quelque peu la lettre (tout en saisissant l’auditoire), tout est ici mis en œuvre pour donner leur juste poids aux textes et aux émotions qu’ils portent. Le tout dans des emplois d’allemand, anglais, italien et français, d’égale et remarquable facture.

Le chanteur à la personnalité vocale indéniable, donc, et à l’entrain communicatif trouve en la pianiste allemande Stella Marie Lorenz une parfaite complice. Virtuose, toujours à l’écoute de son partenaire avec qui elle échange de nombreux regards, l’instrumentiste fait aussi montre d’une technique hors pair. »
Pierre Geraudie, Ôlyrix 

MIRJAM HELIN COMPETITION
SIBELIUS ACADEMY (FINLAND) – 2024

« Among the finalists, I also really liked the contribution of Belgian countertenor Logan Lopez Gonzalez. He had chosen Verlaine songs by various French composers for the lied section, and he gave a very sophisticated and lively interpretation of them. He has performed the piece extensively in concerts with her pianist Stella Marie Lorenz, and her collaboration and her grip on the text lifted it far above the standard competition performance. »
Harri Kuusisaari, Rondo classic 

AMOUR À MORT
LA CITÉ BLEUE – 2024

« Alors dans une succession très émouvante, apaisée, sereine s’élèvera le très beau et très mélancolique « Misera non credea » de Francesco Neri, chanté avec beaucoup de sensibilité par le contre-ténor Logan Lopez Gonzalez« 
Charles Sigel, ForumOpera 

555: VERLAINE EN PRISON
ARCOLA THEATRE – 2023

« Hahn’s ‘L’Heure Exquise’ was indeed exquisite, pianist Stella Marie Lorenz (superb throughout) capturing the delicate, gleaming play of moon on water, and Logan Lopez Gonzalez communicating every atom of the soft simplicity of the vocal line. His very individualised timbre and the egg-shell care that he applied to the vocal lines of the songs reaped huge emotional and dramatic rewards. »
Claire Seymour, OperaToday 

SOLAR: ICARUS BURNING
LA MONNAIE – 2023

« Logan Lopez Gonzaez déploie la sensibilité et la grande clarté de sa voix de contre-ténor, dessinant un Icare au destin tragique, pourtant plein d’espoir et lui-même solaire. Sa puissance couvre même parfois l’orchestre. Pourtant, il ne cherche jamais la puissance mais toujours une forme intime de phrasé, au service de la précision prosodique et musicale de cette partition. »

Soline Heurtebise, Olyrix 

NATIONAL OPERA STUDIO AT CADOGAN
ENGLISH NATIONAL OPERA – 2022

« As the ENO Orchestra hopped from idiom to idiom with practised ease so too did the singers, most of whom sang two or three times during the course of the evening. Yet there were two in particular who stood out. Midway through the first half the lean young figure of Logan Lopez Gonzalez took to the stage and, in contrast to colleagues who had hitherto projected their performances outwards, he drew the audience into his character’s world by dint of sheer magnetic stillness. The Belgian countertenor gave such a moving and haunting account of the Refugee’s aria from Jonathan Dove’s Flight that the trappings of Cadogan Hall faded from view as he sang. An hour later, the same singer’s lyrical performance as Medoro in Handel’s Orlando was in such contrast that only his physiognomy gave him away. The silken, beauty of his voice beguiled the ear in both excerpts. »
Mark valencia, Opera Magazine 

CONCOURS INTERNATIONAL DE CHANT BAROQUE DE FROVILLE – 2021

« Contre-ténor à l’émission d’une rare pureté, le Belge Logan Lopez Gonzales rafle le prix du public, pleinement mérité, voix large, égale, agile, avec un sens dramatique exceptionnel, toujours juste. Un nom à retenir. »
Yvan Beuvard, Forumopera

TOSCA
LA MONNAIE – 2021

« Enfin, mais dans une courte performance remarquée, le Berger est incarné par le soliste de l’académie de La Monnaie Logan Lopez Gonzalez, contre-ténor à la voix sublimée d’aigus ronds et sensibles. »
Soline Heurtebise – Olyrix

« Le jeune Logan Lopez Gonzalez illumine le chant du berger au début du troisième acte de son timbre androgyne. »
Yqnnick Boussaert, Forumopera 

BE MY SUPERSTAR – 2019 

« Countertenor Logan Lopez Gonzalez gave a compelling performance as the reluctant perpetrator. The singers broke the fourth wall; Gonzalez and Stockman excelled in their audience engagement.
A fascinating concept that was thoughtfully considered, prepared and delivered. »
Claire Jackson – OperaNow

INCORONAZIONE DI POPPEA 
ANGERS-NANTES OPERA – 2017

« Dans ce jeu de manipulation et de cynisme barbare, l’Amour gagne un surcroît de vraisemblance grâce à l’excellent jeune contre-ténor Logan Lopez Gonzalez (21 ans), jeune talent, aussi chanteur qu’acteur, capable d’acrobaties inouïes pendant le spectacle et ouvragées avec une élégance irrésistible. Dès le prologue, Amour prend ainsi possession de l’espace scénique, ses prodigieuses arabesques aériennes rappelant la magie des machineries du théâtre baroque et l’élan des allégories de la peinture du Seicento. Tout cela est juste, précis, vrai. Etonnant et stupéfiant travail. »
Alexandre Pham, ClassiqueNews

« Ordonnateur omniprésent, porté dans les airs par des filins, l’Amour est confié au très jeune contre-ténor Logan Lopez Gonzalez dont la singularité du timbre souligne le caractère divin. Très crédible en scène, il se révèle bon technicien et fin musicien. »
Vincent Deloge, Resmusica

« La distribution se révèle digne de tous les éloges, et dès le prologue allégorique se détache le dieu Amour du jeune contre-ténor Logan Lopez Gonzalez (21 ans), éphèbe ailé impressionnant de présence et de facilité vocale. Descendu des cintres tel un ange baroque solaire tout d’or vêtu, il campe un personnage quasi intemporel d’une prégnante délicatesse. »
Michel Le Naour, concertclassic

« Mention spéciale pour Amour dont Leiser et Caurier ont fait un personnage omniprésent, voltigeur, traversant l’espace scénique, des cintres au sol, tout doré des cheveux aux orteils, jouant, chantant : le tout jeune – 21 ans ! – contre-ténor Logan Lopez Gonzalez lui apporte une grâce quasi féerique. »
Caroline Alexander, Webtheatre

« L’Amour presque novice de Logan Lopez Gonzalez irradie de jeunesse et de promesses, dans une distribution où le contre-ténor se substitue sans heurt à l’usuelle soprano. »
Gilles Charlassier, toutelaculture.com

« Logan Lopez Gonzalez est un Amour baigné d’or et de lumière pour son premier rôle scénique. Voltigeant avec grâce dans les airs de la cage de scène, il fait jaillir une voix juvénile et pure de contre-ténor. »
Damien Dutilleul, Olyrix

« Logan Lopez Gonzalez est un Amour espiègle à souhait. »
Laurent Bury, Forum Opera